lundi 28 avril 2014

Ce qui nous lie

Me re voila. Avec une nouvelle lecture. Vive moi.  ;)
    Samantha Baily. Ce qui nous lie.
Mon FF est aux antipodes de celui de ma dernière lecture (voir Echo Bay) c'est un sentiment de... Comment vous l'expliquez? De flottement.
Ce livre est une allégorie à lui seul. On le lit, on l'apprécie et lorsque l'on referme enfin le livre on y reflechit. Oui c'est ce genre de sentiment qui m'a habité au moment de le ranger dans ma bibliothèque.  Une impression de zenattitude qui vous fait du bien...
Alice est une adorable jeune femme qui vient de perdre sa Grand-mère et dont la vie tourne autour de rencontres hasardeuses et de relations houleuses. Parce que oui elle est belle, oui elle est intelligente et non elle n'a pas encore eu la chance de trouver l'homme qui fera vraiment battre son petit coeur.
Mais Alice n'est pas comme tout le monde. Elle voit les relations. Voui VOIT. Sous forme de fils argentés immatériel reliant les gens entre eux avec plus ou moins d'intensité. C'est un don ou bien une malédiction ?
Raphael lui est le stéréotype de l'homme sur de lui qui va faire tomber toutes les femmes à ses pieds.
Le soucis? Elle ne le voit pas. Aucun lien n’apparaît. Rien le néant.
Prise d'un doute elle va tenter de percer à jour cet arrogant goujat qui est aussi son patron.
Tous les personnages de ce livre ont un jour fait partie de notre vie: la jeune femme qui ne sait pas à quel point elle est belle, le mec mal chanceux en amour, le tombeur, la femme sérieuse et strict.
Bref, c'est une allégorie ! Oui une petite leçon de vie que l'on se prend en pleine face mais qui fait un bien fou!
Alice est une conteuse merveilleuse, pleine de fougue et d'envie qu'elle n'est plus sur d'avoir envie de réaliser.
Elle mûrit et nous aussi avec elle.
Je ne vais pas vous spoiler. Je m'arrête donc sur cette simple citation...
"-Qu'est-ce-que tu as appris?-A sortir des schémas, je crois. A aller au-delà du noir et du blanc. A saisir toutes les nuances de gris, mais aussi à comprendre qu'il ne sert à rien de rester dans des situations inacceptables."
                       #S'évader le temps d'une page.

dimanche 27 avril 2014

Jeu mortel a écho bay


Je vous demande dans un premier temps Pardon pour l'absence plus que prolongée mais examens obligent.
Mon système de notation a changé toujours pas aux notes mais aux Finale-Feeling . Absolument le sentiment quand on referme le livre.
Jeu Mortel à Echo Bay m'a prit une journée entière lecture. Parce qu'il était géniallissimement bien?
Non. Mon FF? Mortel. Il porte bien son nom.
L'auteur m'a franchement tenu en haleine. Son écriture est fluide, sa plume est douce et par dessus tout il y a quelques éléments (God save the queen) aux quels on s'accroche.
Mais ces éléments ne sont aucunes des trois filles. Nan mais serieux! On a tous joué à CAP ou PAS CAP mais quand on te dit "Cap de te noyer?." Ben pose toi des questions dis pas juste Oui parce qu'elle a un secret qui t'appartient je sais pas moi! Rechefli!
Bon.
Donc vous l'aurez compris l'histoire tourne autour d'un ou d'une maitre(sse) chanteu(se)r qui donc prend malin plaisir à torturer mentalement ses petites victimes qui lui obéissent aux doigts et à l'oeil.
De plus elles ont bizarrement toutes les trois un passé tortueux avec lequel le corbeau joue (comment le connait-il? Cela restera un mystère !) À s'en peter la panse de rire.
Toute l'histoire est conduite par trois filles superficielles qui ne veulent pas assumer leurs propres passés et qui se jouent des autres avec un parfait Fake Smile en pensant que tout va passer comme une lettre à la poste mais ce corbeau va finalement leur montrer le contraire.
Assume tes actes ou subit les conséquences que tu auras toi-même engendré.
Je me sens toujours mal lorsque je referme un livre avec une mauvaise critique sur la langue mais franchement là c'est risible. Je pense que l'auteur avait cette histoire en tête depuis assez longtemps pour avoir inventé enormement de details qui noyent l'histoire originelle sous du bla-bla inutile.
Voila. Une Mortel Decéption à Astrid-Ville.
Bisous bisous.

Citation à venir (j’espère...)
                         #S'évader le temps d'une page